Tchad : Accusé d’influence, l’ex-Ministre des Armé apporte un démenti officiel.
Info; 28-08-2024
Sur sa page, par l’intermédiaire de ses gestionnaires, le Général Mahamat Abali Salah réagit aux récentes accusations infondées qui circulent sur les réseaux sociaux, lancées par une certaine presse avec preuve à l’appui.
L’intégralité de la déclaration
«Il est important de rappeler que le Général Mahamat Abali Salah, tout au long de sa carrière au service de la nation, a toujours fait preuve de droiture et de dignité, choisissant de ne jamais répondre aux attaques.
Aujourd’hui, bien qu’il soit temporairement en retrait de la scène publique, nous avons le devoir de réfuter fermement ces fausses accusations.
En effet, en l’absence de toute preuve, un ‘média’ accuse à tort Mahamat Abali d’avoir utilisé des moyens financiers pour influencer une nomination, notamment celle de chef de canton, dans le cadre de ses ambitions politiques.
Cette accusation est non seulement fallacieuse, mais également dénuée de sens. La carrière du Général Abali Salah, riche et exemplaire, démontre qu’il n’a nul besoin d’un titre de chef de canton, auxiliaire d’un sous-préfet, pour asseoir sa stature politique.
Son parcours témoigne d’une intégrité et d’une reconnaissance publique acquises par le mérite et non par des moyens détournés.
Les accusations de corruption reflètent une méconnaissance totale de la probité du Général Abali Salah. Tout au long de son parcours, il a toujours rejeté catégoriquement toute forme de malhonnêteté, et ce sont précisément son éthique et son refus de céder à des bassesses qui lui ont attiré l’animosité de certains.
Si le Général avait choisi la voie de la corruption, il serait certainement en bons termes avec ceux qui, aujourd’hui, financent les campagnes de diffamation à son encontre.
Quant aux affirmations historiques avancées, notamment sur la création du canton de Bardaï, elles constituent une distorsion délibérée des faits.
Contrairement à ce qui a été dit, le canton de Bardaï a été officiellement créé par la nomination de Salah Chahaimi, selon la décision n°587 du 13 septembre 1939, et non en 1953.
Nous invitons ceux qui souhaitent obtenir des informations précises à se référer aux documents historiques authentiques, tels que les rapports de 1950, que nous mettons à disposition.
Comme le disait si bien Nelson Mandela : « L’histoire ne nous attend pas. Le passé fait partie de notre héritage, un héritage qui ne peut être effacé. »
Un chef, c’est dans le sang ; on naît avec, on peut choisir un chef, mais on ne peut pas en créer.
En tant que responsables de l’image de Mahamat Abali Salah, nous continuerons à défendre son intégrité et son honneur par tous les moyens légaux possibles.
Concernant son héritage familial, le Général Mahamat Abali Salah, fidèle à ses traditions, préfère ne pas s’immiscer dans les affaires familiales.
Sa famille est entièrement capable de protéger son honneur et de défendre cet héritage précieux. »